WEEK END A LONDRES


260 pages, 18,50€)

SYNOPSIS : Philippe et Élisabeth Dorchereau, un couple marié résidant à Cassis, affrontent une épreuve difficile : l’infertilité d’Élisabeth. Après plusieurs traitements infructueux, un spécialiste l’oriente vers un confrère à Londres. Le couple décide alors de transformer cette contrainte médicale en opportunité touristique, et s’envole pour la capitale britannique. Ce séjour à Londres, qui commence sous de bons auspices, bascule dans le drame lorsque Élisabeth disparaît mystérieusement près du Parlement de Westminster, sous les yeux d’une surveillance policière renforcée. Son enlèvement semble inexplicable, et l’enquête est confiée à l’inspecteur Ray de Scotland Yard, confronté à un ravisseur insaisissable et retors. Élisabeth, capturée, tente de survivre et de découvrir l'identité de son agresseur, tout en s'appuyant sur sa foi et son caractère résolu. De son côté, Philippe revit les tensions passées et interroge les possibles ennemis liés à son activité professionnelle. À mi-chemin entre le roman psychologique, le thriller et le drame conjugal, Week-end à Londres est une enquête haletante sur fond de mal-être intime, de tensions morales et de secrets enfouis. Le roman évoque le style de Mary Higgins Clark, mêlant mystère, émotion et suspense.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

RESUME : Elisabeth se rend à Londres pour subir un traitement pour infertilité. Alors qu’elle est sur le point de rentrer chez elle à Cassis, celle-ci disparaît mystérieusement près de Westminster. Son calvaire débute alors, alors qu’elle tente de découvrir l’identité de son ravisseur, un criminel astucieux qui use de divers stratagèmes pour échapper aux enquêteurs. L’inspecteur Ray de Scotland Yard se lance dans une enquête où chaque indice semble insaisissable. Le roman mélange suspense, mystère et drame psychologique, et adopte un style inspiré de Mary Higgins Clark. L’intrigue est alimentée par la détresse d’Élisabeth et la tension croissante autour de sa disparition.

 

 

 

 

 

 

 

 

 


©jeandeChiffalo